Est-ce dû à la volatilité des marchés financiers ? Craint-on un effondrement de la sécurité sociale et des prestations de retraite ? Ou la confrontation avec les taux de mortalité élevés fait-elle réfléchir à ce qu’il adviendra du capital accumulé après la mort ? Jamais il n’y a eu autant de demandes de conseils en matière de gestion du patrimoine et de planification successorale.
De fait, ce type de conversations s’articule généralement autour de cinq questions.
- Comment se présente la situation financière actuelle ?
- Comment améliorer le rendement de mon patrimoine ?
- La couverture contre les revers imprévus (licenciement, décès, invalidité, incapacité de travail, etc.), à court, moyen et long terme, est-elle suffisante ?
- Quelle est l’orientation à donner à plus long terme, par exemple au moment du départ à la retraite ? Quel capital est-il à ce moment nécessaire ?
- Comment organiser la succession du patrimoine sans faire peser de lourdes dettes sur les héritiers ?
Différents types d’assurance répondent parfaitement à ces questions.
Investir via les assurances
- Il est possible d’investir via une assurance placement (branche 21, branche 23, branche 44) ponctuellement ou en plusieurs fois.
- On peut opter pour un investissement sûr avec capital garanti (branche 21), un placement plus risqué, mais qui présente potentiellement un rendement plus élevé (branche 23) ou une combinaison des deux (branche 44).
- Les produits d’assurance destinés à la constitution de la pension sont particulièrement intéressants sur le plan fiscal (épargne-pension et épargne à long terme).
- Une assurance placement via la branche 21 permet d’être exempté de précompte mobilier après huit ans.
- Il existe toute une série d’assurances qui couvrent les revers imprévus. Nous pensons par exemple à une assurance décès, une assurance cancer, une assurance revenu garanti, etc.
Organiser sa succession via les assurances
- Il est possible de souscrire une assurance dont les héritiers sont les bénéficiaires. Exemple : les parents ou grands-parents souscrivent une assurance dont leurs enfants ou petits-enfants sont les bénéficiaires.
- Il est possible de faire don d’une assurance vie existante en profitant de droits de donation avantageux. Pour y intégrer des clauses de contrôle, il faut passer devant un notaire.
- Les héritiers peuvent souscrire une assurance décès à concurrence des droits de succession en désignant le donateur comme assuré. En cas de décès du donateur, un capital correspondant aux droits de succession est alors reversé aux héritiers.
De nombreuses informations sont disponibles sur Internet à ce sujet. Cependant, pour des dossiers aussi importants, nous vous conseillons de faire appel à notre bureau. Nous disposons des connaissances et des outils requis pour faire les bons choix. Au besoin, nous avons recours à un notaire ou à un autre expert. De plus, nous attachons une grande importance à une approche personnelle et à un suivi régulier. Et pour cause, des événements tels que l’achat d’une habitation, un licenciement, un départ à la retraite imprévu ou un décès peuvent sérieusement chambouler une situation financière.
Source : www.courtiersenassurances.be